Coélaboration des connaissances dans un contexte autochtone

Auteurs-es

  • Alexander McAuley niversity of Prince Edward Island

DOI :

https://doi.org/10.21432/T2GK53

Résumé

Résumé : Le rapport de la Commission royale sur les peuples autochtones (1996), l’Accord de Kelowna annoncé en 2005 (cinq milliards de dollars), suivi de son annulation en 2006, de même que le règlement de 2006 visant à indemniser les victimes de sévices infligés dans les pensionnats indiens (1,9 milliard de dollars), ne sont que quelques-uns des événements marquants récents qui témoignent des défis que le Canada doit relever en ce qui a trait à son histoire de 500 ans de contact entre les Européens et les Premières nations d’Amérique du Nord. Bien qu’elle ait comporté sa part de défis, la création du Nunavut en 1999 se démarque dans le cours de l’histoire en tant que point de repère pour l’autodétermination des Inuits au Canada et représente une lueur d’espoir pour les autres nations autochtones. S’appuyant sur l’idée que le changement en éducation se produit à l’intersection des contextes socioculturels de l’école et du monde qui l’entoure ainsi que sur des données provenant d’une série d’expériences de conception réalisées sur une période de huit ans dans les classes de la région de Baffin (maintenant Qikiqtani) au Nunavut, le présent article explore le potentiel de coélaboration des connaissances de même que les technologies de coélaboration de connaissances qui peuvent venir appuyer les fortes expériences d’apprentissage bilingues (inuktitut/anglais) et biculturelles des élèves autochtones.

Biographie de l'auteur-e

Alexander McAuley, niversity of Prince Edward Island

Alexander McAuley is at the University of Prince Edward Island, Charlottetown PE. Correspondence regarding this article can be sent to: amcauley@upei.ca

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